Petites heures de la nuit. Je referme ce roman et j’ai comme besoin de souffler un peu. Lu en apnée, en moins de quarante-huit heures après des semaines à commencer des livres, à les reposer. Celui-ci, dés le départ, m’a embarqué pour le meilleur et surtout pour le pire. L’ile d’Oléron. Le soleil, la plage... Lire la Suite →