Date de Parution : 21 Août 2019
LE BILLET DE JUJU :
La couverture et cet enfant.
Il y a quelque chose qui m’appelle. Tout de suite.
J’ai débuté ce livre et ne l’ai jamais lâché jusqu’à la dernière page.
Nous sommes à Londres dans les années 1860. Nous partons à la rencontre de personnages hautement romanesques, à la Dickens, et tellement attachants qu’on ne peut se résoudre à les quitter. Si certain des héros de ce livre sont purement fictifs, d’autres ont réellement existé.
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A travers le destin du fils caché d’un certain Karl Marx, nous rencontrerons Charlotte, cette mère de substitution qui m’a ému tout au long du livre, un personnage de femme forte et fragile à la fois. Une héroïne. Une vraie. A elle-seule, elle justifie la découverte de l’ouvrage.
Ce livre se lit d’une belle traite. Un souffle romanesque comme je les aime emporte en permanence le lecteur vers le chapitre suivant, vers la suite d’une belle épopée.
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Un roman sur la différence, sur des personnages pas si manichéens qu’on pourrait le croire au premier abord. Un roman qui nous plonge tête la première dans une époque, où les avancées techniques se font au détriment de ces hommes et de ces femmes qui se tuent littéralement à la tâche.
Sébastien Spitzer est un conteur moderne. Humaniste et passionnant. Je suis complètement sous le charme. Il nous offre un roman palpitant et tellement passionnant que vous ne le lâcherez pas. Entre vérités historiques et rebondissements romanesques, le plaisir est là à chaque instant.
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Un livre qui se lit comme on palpite. Un cœur battant. Ce cœur qui bat à la lecture de cette histoire passionnante. De ce monde qui se bat là dans les poitrines de ceux qui veulent changer les choses, de ceux qui se résignent. De ceux qui se débattent de toutes leurs forces.
LE RÉSUMÉ DE L’ÉDITEUR :
Dans les années 1860, Londres, le cœur de l’empire le plus puissant du monde, se gave en avalant les faibles. Ses rues entent la misère, l’insurrection et l’opium. Dans les faubourgs de la ville, un bâtard est recueilli par Charlotte, une Irlandaise qui a fui la famine. Par amour pour lui, elle va voler, mentir, se prostituer sans jamais révéler le mystère de sa naissance.
L’enfant illégitime est le fils caché d’un homme célèbre que poursuivent toutes les polices d’Europe. Il s’appelle Freddy et son père est Karl Marx. Alors que Marx se contente de théoriser la Révolution dans les livres, Freddy prend les armes avec les opprimés d’Irlande.
Après Ces rêve qu’on piétine, un premier roman très remarqué et traduit dans plusieurs pays, qui dévoilait l’étonnante histoire de Magda Goebbels, Sébastien Spitzer prend le pouls d’une époque où la toute-puissance de l’argent brise les hommes, l’amitié et l’espoir de jours meilleurs.
POUR ALLER PLUS LOIN :
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La Bibliothèque de Juju 
La couverture de ce roman est assez hypnotique… On se perd dans le regard grand ouvert de cet enfant et évidemment, cela donne envie de lire le résumé, surtout quand on sait qui est l’auteur. Comme beaucoup de monde, j’ai découvert Sébastien Spitzer lors de la rentrée littéraire 2017 avec Ces rêves qu’on piétine, un roman magnifique, fort et bouleversant.
Donc j’ai très envie de découvrir ce roman maintenant et je pense que je vais le lire prochainement parce que franchement, il me tente beaucoup et gardant à l’esprit le sentiment qu’avait fait naître en moi Ces rêves qu’on piétine, je me dis que je ne peux pas passer à côté de ce roman qui doit être, encore une fois, magnifiquement raconté par la plume fine et plaisante de Spitzer.
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Je vais rapidement découvrir CES RÊVES QU’ON PIÉTINE car je ne l’ai pas encore lu mais celui-ci me pousse vraiment à lire tout SPITZER!
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